Par : El ouarti El hadi
A quelques jours de l’ouverture de la conférence de Copenhague sur le changement climatique, Mr. Rasmussen, le Premier ministre danois accueillera en décembre 2009 les chefs d’Etat et de gouvernement des pays de la planète, pour donner une nouvelle impulsion au sommet climat prévu.
Plusieurs leaders mondiaux dont Barack Obama, seront présents à cette rencontre de Copenhague. Rappelez-vous que la Chine, suivie des Etats-Unis sont les deux pays les plus pollueurs du monde et les plus émetteurs des gaz à effet de serre.
« Un échec à Copenhague serait moralement inexcusable ». a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon ; le devoir morale incite donc les dirigeants du monde entier ,mais surtout ceux des pays industrialisés à s’engager effectivement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à développer les énergies renouvelables, à accroître la capacité d’absorption du dioxyde de carbone émis dans l’atmosphère en augmentant la couverture végétale, à déployer une économie verte et soutenir les pays en voie de développement pour faire face aux risques des changements climatiques et pour renforcer leurs capacités en matière d’adaptation aux effets de ces dérèglements climatiques.
En effet une nouvelle ère de la gouvernance climatique sera mise en place et se fondera essentiellement sur les traités internationaux fondamentaux :
La Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), décidée lors du sommet de Rio de Janeiro en 1992, entrée en vigueur le 21 mars 1994 et ratifiée par 189 pays dont les États-Unis. La CCNUCC fixait un objectif clair : stabiliser les « concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique ».
Le protocole de Kyoto, décidé le 16 mars 1998, entré en vigueur en février 2005, et ratifié par 172 pays. Il propose un calendrier de réduction des émissions des six gaz à effet de serre (dioxyde de carbone; méthane ; oxyde nitreux ; hexafluorure de soufre ; hydrofluorocarbures ; perfluorocarbures) qui sont considérés comme la cause principale du réchauffement climatique au cours des cinq dernières décennies. Le protocole dicte des engagements clairs vis-à-vis de la réduction des émissions pour les pays industrialisés : de 1990 à 2012, la diminution globale des émissions du gaz carbonique sera de l’ordre de 5,2 %.
Selon le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), le changement climatique global qu’a connu la planète durant les dernières décennies est une première , les causes sont divers et l'activité humaine reste dans une mesure non négligeable le facteur responsable. Pour atténuer ses effets, le GIEC recommande une réduction des émissions globales de gaz à effet de serre de 50 à 85 % en dessous du seuil de 1990 d’ici l’an 2050. On doit donc fixer des objectifs précis quant à ce sujet lors du Sommet de Copenhague en décembre 2009 ; se serait une étape décisive pour l'adoption d'un accord global après-Kyoto qui engagera concrètement tout le monde à la mise en œuvre des dispositifs aptes à atténuer les effets multiples des changements climatiques à l’échelle planétaire.
Il s’agit de l’avenir de notre planète et de notre survie ; ne réchauffez pas notre climat, réchauffez nos espoirs !
A quelques jours de l’ouverture de la conférence de Copenhague sur le changement climatique, Mr. Rasmussen, le Premier ministre danois accueillera en décembre 2009 les chefs d’Etat et de gouvernement des pays de la planète, pour donner une nouvelle impulsion au sommet climat prévu.
Plusieurs leaders mondiaux dont Barack Obama, seront présents à cette rencontre de Copenhague. Rappelez-vous que la Chine, suivie des Etats-Unis sont les deux pays les plus pollueurs du monde et les plus émetteurs des gaz à effet de serre.
« Un échec à Copenhague serait moralement inexcusable ». a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon ; le devoir morale incite donc les dirigeants du monde entier ,mais surtout ceux des pays industrialisés à s’engager effectivement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, à développer les énergies renouvelables, à accroître la capacité d’absorption du dioxyde de carbone émis dans l’atmosphère en augmentant la couverture végétale, à déployer une économie verte et soutenir les pays en voie de développement pour faire face aux risques des changements climatiques et pour renforcer leurs capacités en matière d’adaptation aux effets de ces dérèglements climatiques.
En effet une nouvelle ère de la gouvernance climatique sera mise en place et se fondera essentiellement sur les traités internationaux fondamentaux :
La Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), décidée lors du sommet de Rio de Janeiro en 1992, entrée en vigueur le 21 mars 1994 et ratifiée par 189 pays dont les États-Unis. La CCNUCC fixait un objectif clair : stabiliser les « concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique ».
Le protocole de Kyoto, décidé le 16 mars 1998, entré en vigueur en février 2005, et ratifié par 172 pays. Il propose un calendrier de réduction des émissions des six gaz à effet de serre (dioxyde de carbone; méthane ; oxyde nitreux ; hexafluorure de soufre ; hydrofluorocarbures ; perfluorocarbures) qui sont considérés comme la cause principale du réchauffement climatique au cours des cinq dernières décennies. Le protocole dicte des engagements clairs vis-à-vis de la réduction des émissions pour les pays industrialisés : de 1990 à 2012, la diminution globale des émissions du gaz carbonique sera de l’ordre de 5,2 %.
Selon le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), le changement climatique global qu’a connu la planète durant les dernières décennies est une première , les causes sont divers et l'activité humaine reste dans une mesure non négligeable le facteur responsable. Pour atténuer ses effets, le GIEC recommande une réduction des émissions globales de gaz à effet de serre de 50 à 85 % en dessous du seuil de 1990 d’ici l’an 2050. On doit donc fixer des objectifs précis quant à ce sujet lors du Sommet de Copenhague en décembre 2009 ; se serait une étape décisive pour l'adoption d'un accord global après-Kyoto qui engagera concrètement tout le monde à la mise en œuvre des dispositifs aptes à atténuer les effets multiples des changements climatiques à l’échelle planétaire.
Il s’agit de l’avenir de notre planète et de notre survie ; ne réchauffez pas notre climat, réchauffez nos espoirs !