Avec vous chaque week-end votre chronique :
« A chaque ville suffit sa peine »
« L'effet des richesses d'un pays, c'est de mettre de l'ambition dans tous les coeurs. L'effet de la pauvreté est d'y faire naître le désespoir. La première s'irrite par le travail; l'autre se console par la paresse. » Montesquieu
C’est justement ce geste auguste de semer de l’ambition dans tous les cœurs des nadoriens qui demeurait monnaie rare sinon inexistante tout au long des maudites « années de plomb »…
Durant, quand j’assistais tout adolescent à la fin des années 70 aux quelques meetings politiques autorisés bon gré mal gré, quelques voix téméraires réclamaient les sept clés magique de Nador : celles du Port, de l’aéroport, de la gare, de SONASID, de Marchica la Corniche, de l’université, des complexes culturel et sportif…
Certains gardes chiourmes de l’époque, nous dévisageaient comme si nous étions damnés, une sorte de population contaminée mise à la quarantaine ; des spécimens à qui il fallait faciliter de manière légale ou autre de quitter le territoire, de chercher refuge là-bas du coté des Celtes, des Ibères, des gaulois, des germains, des romains, loin de la Grotte d’Hercule…
Ceux qui ont échappé à la grande évacuation au bord des « galères » du Vieux Continent et ont gardé pieds sur la terre sainte du Rif, furent tantôt totalement oubliés, tantôt montrés du doigts comme des criminels surnommés « AL AWBACH » accusés de tous les délits : contrebande, trafique de drogue, émigration clandestine, trafique d’armes, espionnage, O ZID O ZID …
Aujourd’hui, grâce à notre jeune Monarque, SM MOHAMED VI, que Dieu le glorifie,
L’espoir regagne tous les cœurs, naguère quasi damnés, car en honorant la ville de sa présence effective chaque été, jusqu’à la métamorphoser en véritable site estival royal, pour ne pas dire une autre capitale du royaume, sœur cadette des grandes cités impériales, avec toujours un seul mot d’ordre à la bouche : Au travail…
ET c’est justement pour travailler et nous faire travailler davantage que NOTRE SOUVERAIN exprime son Amour Royal à la ville de Nador, à ses habitants et à tout le peuple marocain…
MAJESTE, merci, nous vous aimons tous…
Et avant de clore cette chronique, je cite encore une fois le vieux Montesquieu :
« Dans une nation qui est dans la servitude (nous mêmes dans le passé), on travaille plus à conserver qu'à acquérir. Dans une nation libre (comme nous le sommes aujourd’hui), on travaille plus pour acquérir qu'à conserver ».
Par BOUZIANE MOUSSAOUI
Bouzianeamazighe_1@hotmail.com
« A chaque ville suffit sa peine »
« L'effet des richesses d'un pays, c'est de mettre de l'ambition dans tous les coeurs. L'effet de la pauvreté est d'y faire naître le désespoir. La première s'irrite par le travail; l'autre se console par la paresse. » Montesquieu
C’est justement ce geste auguste de semer de l’ambition dans tous les cœurs des nadoriens qui demeurait monnaie rare sinon inexistante tout au long des maudites « années de plomb »…
Durant, quand j’assistais tout adolescent à la fin des années 70 aux quelques meetings politiques autorisés bon gré mal gré, quelques voix téméraires réclamaient les sept clés magique de Nador : celles du Port, de l’aéroport, de la gare, de SONASID, de Marchica la Corniche, de l’université, des complexes culturel et sportif…
Certains gardes chiourmes de l’époque, nous dévisageaient comme si nous étions damnés, une sorte de population contaminée mise à la quarantaine ; des spécimens à qui il fallait faciliter de manière légale ou autre de quitter le territoire, de chercher refuge là-bas du coté des Celtes, des Ibères, des gaulois, des germains, des romains, loin de la Grotte d’Hercule…
Ceux qui ont échappé à la grande évacuation au bord des « galères » du Vieux Continent et ont gardé pieds sur la terre sainte du Rif, furent tantôt totalement oubliés, tantôt montrés du doigts comme des criminels surnommés « AL AWBACH » accusés de tous les délits : contrebande, trafique de drogue, émigration clandestine, trafique d’armes, espionnage, O ZID O ZID …
Aujourd’hui, grâce à notre jeune Monarque, SM MOHAMED VI, que Dieu le glorifie,
L’espoir regagne tous les cœurs, naguère quasi damnés, car en honorant la ville de sa présence effective chaque été, jusqu’à la métamorphoser en véritable site estival royal, pour ne pas dire une autre capitale du royaume, sœur cadette des grandes cités impériales, avec toujours un seul mot d’ordre à la bouche : Au travail…
ET c’est justement pour travailler et nous faire travailler davantage que NOTRE SOUVERAIN exprime son Amour Royal à la ville de Nador, à ses habitants et à tout le peuple marocain…
MAJESTE, merci, nous vous aimons tous…
Et avant de clore cette chronique, je cite encore une fois le vieux Montesquieu :
« Dans une nation qui est dans la servitude (nous mêmes dans le passé), on travaille plus à conserver qu'à acquérir. Dans une nation libre (comme nous le sommes aujourd’hui), on travaille plus pour acquérir qu'à conserver ».
Par BOUZIANE MOUSSAOUI
Bouzianeamazighe_1@hotmail.com